Coalition Avenir Québec: Claire Isabelle est la candidate dans Huntingdon

ÉLECTION – La professeure et chercheuse à la faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa, Claire Isabelle, sera la candidate de la Coalition Avenir Québec (CAQ) dans la circonscription de Huntingdon lors de la prochaine élection provinciale qui aura lieu le 1er octobre.  

Mme Isabelle se présente avec un objectif clair: améliorer le taux de diplomation au Québec, notamment dans la circonscription de Huntingdon.

«On retrouve, dans certaines de nos commissions scolaires, des taux de décrochage très élevés, explique Mme Isabelle. Dans la région, on parle d’un jeune sur trois qui décroche. On doit aider tous nos jeunes à obtenir au moins leur diplôme d’études secondaires.»

«Claire est très impliquée à la CAQ, et ce, depuis la fondation du parti, indique le chef du parti, François Legault. Je suis très fier de l’avoir à mes côtés aujourd’hui. Elle a participé activement à l’élaboration de nos propositions en éducation: l’implantation de la prématernelle quatre ans, non obligatoire, dans toutes les écoles du Québec et l’ajout de cinq heures par semaine dans toutes les écoles secondaires pour plus de sports, d’arts et d’aide aux devoirs. Claire et moi partageons cette passion qu’est l’éducation. Un gouvernement de la CAQ va recommencer à investir dans ce secteur de la plus haute importance. Il s’agit du meilleur investissement que l’on puisse faire comme société.»

«Les agriculteurs méritent d’être considérés comme des entrepreneurs de premier rang.»

Claire Isabelle, candidate de la CAQ dans Huntingdon

Agriculture

Mme Isabelle désire aussi améliorer les conditions économiques dans Huntingdon, en valorisant les secteurs agricole, agroalimentaire et agrotouristique.

Elle rappelle que sa formation politique s’engage à créer un fonds de 50 M$ par année pour aider les agriculteurs à moderniser leurs équipements.

«J’ai grandi à Saint-Michel, rappelle Mme Isabelle. Je sais à quel point l’agriculture, c’est important pour les gens du comté. Dans la région de Napierville, l’agriculture, la fabrication et le transport représentent 30 % des emplois et pratiquement autant dans le Haut-Saint-Laurent et à Sainte-Martine. On parle de milliers d’emplois dans le secteur agroalimentaire. Nous devons protéger ces emplois.»