Sur le site de l’ancien restaurant Anatolia: un nouveau gym sera construit à Saint-Rémi

ACTUALITÉ – Un tout nouveau gym doit ouvrir ses portes cet été, à Saint-Rémi, sur le site de l’ancien restaurant Anatolia, qui a été détruit par un incendie, en mai 2016.

Ce projet, dont la valeur est estimée à 1,5 M$ est celui de Simon Boyer, dont la famille est propriétaire du terrain depuis une trentaine d’années. Son frère est également propriétaire du restaurant Patate Boyer, situé de l’autre côté de la rue.

Le commerce sera donc construit sur le terrain vacant situé à l’angle des rues Notre-Dame et Lachapelle Est. Le gym ne fait pas partie d’une bannière et son nom n’a pas encore été déterminé par le propriétaire.

S’il n’en tenait qu’à M. Boyer, les travaux de construction auraient déjà commencé, mais il vient tout juste de recevoir son permis de construction de la Ville. Saint-Rémi confirme avoir reçu une demande de modification de zonage pour autoriser l’implantation d’un gym à cet endroit. L’ouverture est prévue à la fin août ou au début du mois de septembre.

Il n’y avait plus de gym à Saint-Rémi depuis que la Ville a décidé d’acheter le bâtiment qui abritait le Cardiotonik, pour le démolir. Cela permettra le réaménagement de l’intersection des rues Notre-Dame et de l’Église.

Un plan préliminaire de l’édifice du futur gym, vu depuis la rue Lachapelle.

Équipements

Le bâtiment comprendra le rez-de-chaussée, un étage au-dessus, un sous-sol et une mezzanine.

«Il va y avoir un bar santé et peut-être une petite zone de crossfit, indique M. Boyer. On va aussi offrir un service de garde entre 16 h et 20 h. Sur place, il va être possible de consulter une kinésiologue, une physiothérapeute et peut-être aussi une massothérapeute, qui vont travailler à leur compte.»

Il sera possible d’y faire des exercices cardiovasculaires et musculaires. M. Boyer va aussi y installer six machines à bronzage, provenant du Centre de santé et bronzage Saint-Rémi, qui a récemment fermé ses portes.

À cet effet, le propriétaire de l’endroit, Patrick Poudrette, assure que ses clients ne perdront pas le temps de bronzage qu’ils avaient en banque. Ils pourront écouler ces minutes lorsque le nouveau gym sera ouvert.

L’édifice vu depuis la rue Notre-Dame.