Comté fédéral de Brome-Missisquoi: Marilou Alarie sera la candidate du Bloc Québécois aux prochaines élections

POLITIQUE – Marilou Alarie sera la candidate du Bloc Québécois dans la circonscription de Brome-Missisquoi, qui comprend les municipalités de Noyan et Clarenceville, lors des prochaines élections fédérales.

Sa candidature a été officialisée le 28 avril, lors d’une investiture virtuelle qui rassemblait le chef de sa formation politique, Yves-François Blanchet, la députée de Shefford, Andréanne Larouche, et de nombreux militants.

Marilou Alarie est diplômée en communication publique. En 2013, elle fait un saut en politique municipale en devenant conseillère à Saint-Bruno-de-Montarville. Au cours de ses deux mandats, elle a notamment été responsable des dossiers de l’aménagement du territoire, de la protection du patrimoine, de la culture, de la mobilité et de la vie communautaire.

Implication

Son implication a été récompensée du prix «Contribution exceptionnelle à l’environnement 2013», remis par la Coalition Verte, ainsi que du prix «Villes et villages à la rescousse 2014».

«C’est un privilège de porter les couleurs du Bloc Québécois dans Brome-Missisquoi, a-t-elle déclaré. Je le fais avec enthousiasme et aussi avec humilité, car je sais à quel point le travail d’une élue est d’abord d’être au service des gens, de les soutenir et faire que leur voix soit entendue. Propriétaire d’une ferme dans la municipalité de Brigham, je suis sensible aux enjeux des citoyens d’ici, qu’il s’agisse de la protection du patrimoine naturel, de tourisme, de soins de santé, d’accès au logement, de services aux aînés ou de relève agricole.»

«Au cours du présent mandat, le travail du Bloc a changé la donne sur plusieurs dossiers à Ottawa, conclut Mme Alarie. Je pense ici aux mesures de soutien aux entreprises durant la pandémie, à la gestion de l’offre pour les agriculteurs, au remboursement des billets d’avion, et beaucoup plus. Le rôle du Bloc Québécois est essentiel, à la fois pour préserver les acquis constamment menacés du Québec et pour promouvoir les intérêts des Québécois. Il y a encore beaucoup à faire et plus la voix du Québec sera forte à Ottawa, meilleurs seront les gains pour le Québec.»