Le Centre funéraire de Napierville passe aux mains de Serre & Finnegan

Entreprise. Le propriétaire des Salons funéraires Serre & Finnegan, Steve Finnegan, vient tout juste de faire l’acquisition du Centre funéraire de Napierville, qui appartenait jusque-là à la Coopérative funéraire du Grand Montréal.

Il s’agit d’une deuxième acquisition en quelques mois seulement pour l’entreprise cette entreprise, dont le siège social est basé à Lacolle.

En effet, au début de 2022, M. Finnegan a fait l’acquisition de la Résidence funéraire Michel Thériault, située à Mercier. Il est aussi propriétaire des salons funéraires situés à Saint-Édouard, Saint-Michel et Hemmingford.

La -Coopérative funéraire du Grand Montréal était aussi propriétaire d’un salon funéraire situé à Sherrington. Ce dernier ne faisait pas partie de la transaction. Il a plutôt été vendu à un autre acheter et le bâtiment aura une autre vocation que celle de salon mortuaire.

Transaction

La transaction s’est concrétisée le 22 avril. « Ce sont eux [la Coopérative funéraire du Grand Montréal, ndlr] qui m’ont approché au mois de décembre pour voir si j’avais de l’intérêt à poursuivre les opérations à Napierville, explique M. Finnegan. Ils ont décidé de se concentrer sur la région de -Montréal et d’offrir cette opportunité à une entreprise ancrée localement. »

Services

Le salon funéraire de Napierville poursuit donc ses activités. Il n’a d’ailleurs jamais cessé ses opérations.

« Rien ne change, assure M. Finnegan. Tous les préarrangements qui ont été faits avec la Coopérative du funéraire du Grand Montréal vont être respectés. Il n’y a aucune inquiétude à avoir. Les privilèges de ceux qui en étaient membres vont aussi être respectés. L’objectif est que les membres soient satisfaits. »

Cette succursale est dotée d’un salon d’exposition qui peut être converti en chapelle pour y célébrer des cérémonies. On y trouve également un columbarium qui compte une centaine d’emplacements, ainsi qu’une petite salle à café.

Appartenance

Les citoyens développent un sentiment d’appartenance avec leur salon funéraire local, remarque M. Finnegan.

« Les gens quittent parfois leur municipalité pour obtenir des soins de santé, mais ils y reviennent souvent pour y célébrer leurs funérailles », dit-il.

Ce salon funéraire va desservir environ 60 familles par année.

Les services qui y sont offerts seront d’ailleurs bonifiés, de manière a bien servir la clientèle.

« Il y aura du personnel sur place pour rencontrer les gens, faire le suivi de dossiers, les préarrangements funéraires et pour donner accès au columbarium », conclut M. Finnegan.