André Tremblay se présente comme conseiller

André Tremblay est candidat au poste de conseiller dans la municipalité du canton de Hemmingford. S’il est élu, M. Tremblay s’engage à faire preuve de la plus grande intégrité.

« Je sais qu’aux yeux du grand public, les politiciens sont souvent vus comme des manipulateurs surtout bons à faire des tas de promesses en temps d’élection, avant de chercher des excuses pour ne pas les tenir, dit-il. Il est possible qu’en me lisant, vous vous disiez : « Bon ! Un autre opportuniste… » Eh bien non ! Détrompez-vous. Je ne suis qu’un homme ordinaire qui veut s’impliquer activement dans sa communauté pour les bonnes raisons. »

CHIEN DE GARDE

S’il est élu, M. Tremblay veut agir comme « chien de garde », pour s’assurer de maximiser la qualité des services offerts aux citoyens, compte tenu des taxes qu’ils paient. 

« Je pense à l’entretien de nos routes, rues et chemins, je pense à l’entretien de nos parcs, à la qualité de nos loisirs, à nos policiers, à nos pompiers, à nos ambulanciers, etc. », précise-t-il.

ENVIRONNEMENT

M. Tremblay se décrit comme un « écologiste dans l’âme ». À ce titre, il entend militer en faveur de la protection de l’environnement. 

« Je suis conscient de l’importance des arbres pour notre environnement, souligne-t-il. Considérant que ceux-ci sont le poumon de la terre, je veux être le promoteur de la sylviculture sur notre territoire. Dans le même ordre d’idée, le canton d’Hemmingford est vaste et son eau potable provient presque exclusivement de son propre sous-sol. Je m’engage à tout mettre en œuvre pour protéger cette inestimable richesse qui est la nôtre. »

Il propose aussi de créer un jardin communautaire, qui permettrait aux citoyens de se rapprocher. 

TAXES

« L’année dernière, plusieurs villes, petites ou grandes, ont gelé leur compte de taxes. Pourquoi Hemmingford ne pourrait-elle pas les imiter ?, plaide-t-il. Bref ! Je vous demande de voter pour moi. Voter est un droit précieux. C’est une opportunité pour chacun de s’exprimer, de critiquer, voire de chialer comme on dit couramment. J’admets que les administrations précédentes ont parfois abattu du bon travail, mais on peut faire plus. Mettez-moi au défi. »