Programme Emplois d’été Canada: plus de 260 emplois offerts dans le comté de Châteauguay-Lacolle

EMPLOI – À ce jour, 261 emplois ont été offerts, dans 90 organisations situées dans la circonscription fédérale de Châteauguay-Lacolle, dans le cadre du programme Emplois d’été Canada. La période d’embauche se poursuit jusqu’au 12 juillet.

Parmi ces organisations, on compte des municipalités, comme Saint-Michel, Saint-Rémi ou Sherrington, mais aussi des organismes communautaires, dont la maison des jeunes de Saint-Rémi ou Apprendre en cœur. Plusieurs entreprises privées de la région ont aussi recours à ce programme, que l’on pense à la Ferme Romuald, à Saint-Bernard-de-Lacolle, au Club Agroenvirotech, de Saint-Édouard ou au Group PleineTerre, à Napierville.

Programme

Emplois d’été Canada permet aux jeunes de 15 à 30 ans d’obtenir une expérience de travail dans des entreprises, des organismes et des organisations du secteur public.

Ils peuvent consulter les offres et poser leur candidature en ligne sur le site Internet guichetemplois.gc.ca/jeunesse ou l’application mobile Guichet-Emplois du gouvernement du Canada.

Quant aux employeurs, ils reçoivent une aide financière du fédéral, pour payer le salaire de ces jeunes. Les organismes à but non lucratif ont droit à une subvention correspondant à 100 % du salaire horaire minimum, alors que les organisations du secteur privé et du secteur public reçoivent 50 %.

«Emplois d’été Canada est un programme important pour notre communauté, car il permet à la fois aux jeunes de développer leurs compétences pour débuter leur carrière et aux employeurs de recevoir un coup de pouce», soutient la députée de Châteauguay-Lacolle, Brenda Shanahan.

Bonification

En 2019, la circonscription de Châteauguay-Lacolle bénéficie d’un financement supplémentaire dans le but de mieux répondre aux besoins des municipalités de petite taille et des nombreux organismes communautaires.

«L’enveloppe disponible pour les employeurs est de 774 000 $, comparativement à 626 000 $ en 2018, ce qui résulte en un nombre accru d’heures de travail subventionnées», précise Mme Shanahan.