La candidate de la CAQ dans Huntingdon, Claire IsaBelle, prône un meilleur soutient à l’agroalimentaire
Fille de producteur agricole élevée sur la ferme familiale à Saint-Michel, Claire IsaBelle se dit très sensible aux questions touchant la production agroalimentaire au Québec, particulièrement le soutien que le gouvernement et les organismes du secteur apportent aux agriculteurs.
Lors d’une visite d’une serre en compagnie du chef du parti, François Legault, celui-ci a dit qu’un gouvernement de la Coalition Avenir Québec donnerait au secteur agroalimentaire du Québec une voix déterminante et a ajouté que, dans un gouvernement de la CAQ, le ministre de l’Agriculture siégerait d’emblée au Comité des priorités. Mme IsaBelle s’est réjouie de cette annonce, disant que « c’est un changement majeur et fort important pour les producteurs et les maraîchers. Cela démontre que le secteur de l’Agriculture est une priorité pour un gouvernement de la Coalition Avenir Québec ».
Elle a indiqué que l’une des premières tâches du futur ministre sera de publier une politique agricole claire. « Le gouvernement libéral sortant ne fait que consulter depuis 2008 ».
Par ailleurs, pour assurer la relève des fermes familiales, la Coalition Avenir Québec entend favoriser le transfert intergénérationnel des exploitations agricoles en facilitant l’accès à l’exonération d’impôt sur le gain en capital de 750 000 $ lorsque les agriculteurs vendent leur exploitation à leur enfant.
Mme IsaBelle ajoute qu’un gouvernement de la CAQ permettrait aux transformateurs alimentaires québécois d’affronter leurs concurrents étrangers à armes égales et de manière équitable. La Coalition veillera à ce que les produits de l’industrie agroalimentaire qui sont importés au Québec répondent aux mêmes exigences que celles auxquelles les entreprises québécoises sont soumises.
François Legault a conclu en disant que « Le maintien d’un secteur agroalimentaire fort et dynamique est crucial pour la Coalition. C’est une question d’intérêt national. À cause de son importance économique, bien sûr, mais aussi pour des raisons de sécurité alimentaire ».