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Haut-Richelieu: la Chambre de commerce reçoit le ministre de l’Agriculture

André Lamontagne devrait discuter de certains dossiers régionaux qui touchent le Haut-Richelieu, une région reconnue pour sa valeur agricole. Le Canada Français − Archives

AGRICULTURE – Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec, André Lamontagne, prononcera un discours devant la communauté d’affaires et agricole du Haut-Richelieu. Il est attendu le 18 février dans le cadre d’un Dîner grande rencontre qui se tiendra en format virtuel.

La venue du ministre André Lamontagne est une initiative du comité agroalimentaire de la Chambre de commerce et de l’industrie du Haut-Richelieu (CCIHR), précise Michel Milot, le directeur général de l’organisme.

«Ce comité était en dormance depuis deux ans. Il est maintenant en relance», enchaîne M. Milot. Une nouvelle administratrice s’est récemment jointe au conseil d’administration de la CCIHR. Il s’agit de Dominique Roy, ressource stratégique et associée chez CorpoRessources. Elle a eu le mandat de redonner vie au comité agroalimentaire. Ce dernier est également composé de Philippe Beaudry (Desjardins Entreprise Haut-Richelieu-Yamaska), d’Audrey Bogemans (Ferme Bogemans), de Christian Kaiser (Ferme familiale Kaiser), de Stéphane Legrand (Le Canada Français) et de Simon-Jacques Perreault (Perreault Potvin et associés).

Conférence

Le ministre André Lamontagne abordera différentes thématiques lors de son allocution, dont l’agriculture, l’achat local, le développement durable et l’importance d’être autosuffisant.

Il devrait également discuter de certains dossiers régionaux qui touchent les MRC du Haut-Richelieu et des Jardins-de-Napierville, deux régions reconnues pour leur valeur agricole.  Rappelons que l’été dernier, André Lamontagne a rejeté la demande de dézonage d’une terre agricole située en bordure de l’autoroute 35 dans le secteur Saint-Luc, à Saint-Jean-sur-Richelieu. La MRC du Haut-Richelieu avait adopté une résolution à la fin juin demandant au gouvernement du Québec d’adopter un décret pour exclure de la zone agricole permanente le terrain agricole qui avait déjà été identifié pour y aménager le Parc d’affaires et d’innovation régional (PAIR).